L’ancienne première dame de la RDC, Marie-Olive Lembe Kabila, n’est pas restée bouche bée sur la perquisition de Kingakati, à Kinshasa prévue ce jeudi 17 avril. Elle a dénoncé ce qu’elle qualifie de harcèlement orchestré par les services de sécurité sous le régime actuel. Une déclaration qui intervient au terme de l’annonce d’une perquisition du parc de la vallée de la N’sele, communément appelée Kingakati.
« C’est une persécution que nous subissons des services de sécurité et de ce régime. Ils nous persécutent et créent expressément des dommages sur l’image de nos activités», a-t-elle déclaré, dénonçant une campagne ciblée contre sa famille.
À noter que cette persécution fait suite aux soupçons de liens entre des proches de l’ancien chef de l’État et le mouvement rebelle AFC/M23, accusations que la famille Kabila rejette en bloc.
Par la rédaction