L’annonce de l’assassinat de 318 civils à Moba, au Tanganyika a défrayé la chronique, avant d’être balayée par un revers de la main par le gouverneur de ladite province. Abordant le sujet dans le même sens, l’armée a également démenti cette information.
Le porte-parole des Forces Armées de la République démocratique du Congo, FARDC, le Général-Major Sylvain Ekenge Bomusa Efomi, a affirmé qu’il s’agirait plutôt d’un épisode d’activisme du groupe armé Mutono, responsable d’une dizaine de morts.
Ce chiffre controversé avait été évoqué le dimanche 15 juin par le président de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe qui citait un rapport transmis par le caucus des députés du Tanganyika.
Revenant sur le fait, l’assemblée nationale a reconnu l’erreur dans un communiqué signé par le chef de cabinet du rapporteur, Philibert Kanika Sumbayi.
Par la rédaction