Par la Rédaction
« Du temps perdu », voilà la sentence impitoyable de l’un des cadres de Ensemble pour la République sur l’un des rendez-vous de la Vice-ministre de l’EPST à la vallée du parc de Kingakati où on la voit dans une petite vidéo faire le saut à la tyrolienne.
Aminata Namasiya se fait passer soigneusement au crible depuis le week-end dernier. La toile s’enflamme. Si certains pensent que la Vice-ministre de l’ESPT a encore des germes d’enfance en elle, d’autres vont plus loin jusqu’à mésestimer ses capacités congénitales.
Laurent Onyemba s’invite au débat avec des mots moins durs. « Bienvenue au royaume de la récompense malgré nos insuffisances congénitales. La république des inconscients dont a parlé Mutinga. Avant d’occuper les charges d’Etat, il faut liquider nos désirs d’enfants », a-t-il dit tout haut.
Aminata Namasiya a été trop tôt élue député nationale. La faute revient à son père, qui a misé jusqu’à être fauché, pour que sa fille siège à la chambre basse du Parlement, Aminata Namasiya. La même Aminata Namasiya a siégé au début de la législature au bureau d’âge de l’Assemblée nationale avant de siéger à nouveau avant l’installation du bureau Mboso.
Des opportunités qui ont peut-être permis à Aminata Namasiya, toujours célibataire, de se régaler également de se bourgeoiser avec les indemnités, émoluments perçues comme membre du bureau de l’Assemblée nationale. Comme-ci cela ne suffisait pas avec des poches déjà remplies des billets verts, à la suite de ses fonctions exercées comme membre du bureau, la même Aminata Namasiya a été récompensée par le Président de la République au lendemain de la publication du gouvernement au poste de Vice-Ministre de l’EPST. Une récompense qui tue Namasiya à l’idée où, elle parle déjà un Français approximatif à sa langue maternelle. Ses émissions, interventions en disent tout. Les rares prestations télévisées de Namasiya font bouger les côtes.