La République démocratique du Congo est accusée par l’ONG Human Rights Watch, de cibler les opposants politiques. Des allégations que le gouvernement rejette en bloc. Du moins, il préconise au travers de son porte-parole Patrick Muyaya, un moment d’échange dans un esprit de collaboration constructive avec cette organisation internationale.
En réaction aux accusations, le gouvernement de la RDC rejeté en bloc les allégations de restriction des libertés fondamentales, d’arrestations arbitraires et d’intimidation.
» Le prétendu ciblage de l’opposition politique, mis en avant avec insistance par Human Rights Watch, se heurte aux faits concrets. Les mesures prises par les autorités visent à maintenir l’ordre public, à préserver la sécurité des citoyens et à prévenir toute manifestation de violence. Il est fondamental de souligner que l’intervention des forces de sécurité se conforme autant aux lois nationales qu’aux protocoles internationaux régissant le maintien de l’ordre », peut-on lire dans ce communiqué.
le Gouvernement dit insister sur la pertinence des mesures prises pour des motifs de sécurité et de maintien de l’ordre public.
« Les actions prises à l’encontre de personnes spécifiques reposent sur des informations crédibles et des preuves tangibles. Toutes les allégations de violations des droits humains font l’objet d’enquêtes approfondies et transparentes. Les individus présumés responsables de tout acte répréhensible seront tenus pour responsables devant la loi, indépendamment de leur statut ou de leur affiliation politique ».
Par KM