Par Gabaliotte B
Un texte de loi proposé par le député national Daniel Mbau à propos de la loi qui fixe le montant maximal de la dot à 500 $ dans les milieux urbains et 200 $ dans les milieux ruraux est rejeté par une certaine opinion nationale.
Sur Twitter, le président de ECCCO attaque frontalement et sans recule, celui qui se présente comme ( à défaut ?) « Constitutionnaliste ».
«La priorité est ailleurs : la réduction du train de vie des institutions, en ramenant, par exemple, les émoluments des élus à 2.500 dollars», préconise-t-il comme solution à cette question qui touche la société.
Tout se fondant sur le principe de réduction du train de vie de l’État, tout furieux, Adam Bombole assène encore en disant que c’est du «n’importe quoi».
Selon son initiateur, cette proposition de loi sur la dot est anthropologique, tentaculaire et sociologiquement ancrée dans la profondeur de notre ethos et de notre cosmogonie. Elle marque une révolution et une rupture positive d’avec les tares et incongruités du passé.
Rappelons que cette loi formalise aussi les fiançailles qui cessent d’être une simple promesse de mariage pour devenir un véritable engagement solennel assorti des droits et obligations.