« Mentir, mentir il en restera toujours quelque chose ». L’opposant congolais et président du parti « ECIDE », ayant abattu toutes les cartes pour faire échec au processus électoral en cours, a fini par abandonner la course a6 la magistrature suprême et aux restes des élections.
L’autoproclamé » président élu de 2018 « , a annoncé à l’opinion tant nationale l’internationale, son retrait et celui de son parti du processus électoral à tous les niveaux, lors d’un point de presse tenue le lundi 19 juin.
Dans son adresse aux professionnels des médias, celui qu’on surnomme « Mafa » remet en question la crédibilité du fichier électoral, et accuse le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi de « vouloir à tout pris obtenir un autre mandant par la fraude, et rallonger le nombre de mandats du président de la République à 7 ans, afin d’accomplir, affirme-t-il, son projet de balkanisation de la RDC.
De qui se moque-t-on monsieur le candidat malheureux aux élections présidentielles de 2018 ? Des accusations gratuites et dénudées de toutes vérités, car l’opinion que vous tenez à témoins sait parfaitement que le Chef de l’État n’a jamais exprimé les pensées relatives à une quelconque intention de revoir la constitution dans le but de rallonger le nombre de mandants du Président de la République en RDC de 5 à 7 ans, et n’a jamais comploté pour la balkanisation du pays.
La validation de l’actuel fichier électoral par les experts internationaux venus de l’Afrique du Sud et du Malawi, témoigne à suffisance le travail titanesque abattu par le président de la CENI, Denis Kadima et l’ensemble de son équipe à donner à la RDC un fichier électorale jamais obtenu dans les cycles électoraux précédents.
Très logique dans ces mauvaises habitudes, celui qu’on surnomme « le soldat du peuple », cherche à embarquer les pères spirituels de la RDC dans son chemin de boycotte, en leur demandant de ne pas accompagner la centrale électorale dans ce processus électoral. Une tentative qui démontre noir sur blanc que le président narional de l’ECIDE est en perte de vitesse, et cherche à se faire une santé politique, après avoir les avoir roulé dans la farine sur les vérité à des urnes.
Fort d’une base très solide prête pour les élections à venir, Félix Tshisekedi porté par sa famille politique qui est l’UDPS, et le méga plate-forme politique Union Sacrée de la nation; qui a fait sa sortie officielle en mai dernier, n’a pas besoin de préparer une hold up électorale pour rester au pouvoir, comme l’affirme à tort Martin Fayulu.
S’agissant de la bonne marche du pays, ce député national honoraire est sans ignoré, de la détermination du garant de la constitution à respecter celle-ci, et à veiller sur le bon fonctionnement des institutions du pays.
À propos de la situation sécuritaire, l’instauration de l’état d’urgence dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri depuis 2020, par le Président de la République, a permis aux FARDC de démanteler les poches de résistance à plusieurs groupes armées opérant dans l’Est du pays , et à mettre fin aux pillages des nos richesses par le Rwanda via certaines personnalités politiques congolaises couvert par l’ancien régime. Une réponse a l’insécurité dans l’Est du pays qui a suscité la colères du président rwandais, Paul Kagame à agresser la RDC via le M23. Des actions que seul, monsieur Martin Fayulu ignore en âme et conscience.
Cette politique imprégnée par le Président de la République, a poussé le peuple congolais à manifester son attachement à la vision du numéro un d’entre les congolais, celle de « peuple d’abord », matérialisée avec la gratuité de l’enseignement, le programme de développement de 145 territoire, Transacademia et j’en passe…
Une chose est vraie, depuis son échec lors de l’élection présidentielle, l’on assiste aux insultes et aux campagnes de diabolisation de la part du propriétaire de « Faden House » et ses lieutenants dans les médias et les réseaux sociaux. Une façon pour eux de faire susciter dans le chef de beaucoup de congolais un sentiment de révolte envers le régime en place.
Ses propos de l’opposant, viennent de confirmer les accusations du SG de l’UDPS agustin KABUYA qui en maintes reprises dit que « les opposants ne sont pas prêts à aller aux élections ».
» Martin Fayulu n’était pas prêt à aller aux élections. Il a passé tout son temps dans la distraction. C’est une fuite en avant. Personne ne voulait me croire. La communauté internationale a des émissaires en RDC », fait remarquer Augustin Kabuya, secrétaire général de l’UDPS lors d’une matinée politique.
Avant d’ajouter : » Il a fait des tentatives d’aller sensibiliser la communauté internationale pour sa cause. Ça n’a pas marché. Là, c’est par honte qu’il ne puisse pas vivre des humiliations à travers les urnes ».
Comme en 2018, où Martin Fayulu avait multiplié les campagnes de boycottes de la machine à voter; car il n’était pas prêt pour aller aux élections, l’homme de la vérités des urnes recours aux mêmes méthodes pour chercher à tout pris une transition menant à un partage de pouvoir. « On prend le même et on recommence ».
Martin Fayulu Madidi est tenu à savoir que les élections auront lieu en décembre prochain sans ou avec son parti politique; et le navire battant pavillon du processus électoral a déjà pris une vitesse croisière.
Murphy Fika