Ce dimanche 13 novembre, une vingtaine des journalistes des radios communautaires de Kiwanja et Rutshuru-centre, ont sollicité leur départ vers Goma ou une autre zone sous contrôle du gouvernement.
Arrivée pour couvrir différents évènements sur la situation sécuritaire à l’Est du pays, ces professionnels des médias disent être en insécurité les jours à venir.
D’où, l’un d’entre eux ayant requis l’anonymat a révélé qu’ils vivent en clandestinité et cela fait déjà deux semaines.
Il renchéri que certains de ces confrères et consœurs passent nuit dans des conditions délétères aux alentours de la base de la MONUSCO, présumée être sécurisée.
Ces journalistes redoutent d’être la cible de cette rébellion, pouvant les forcer à travailler selon leur la ligne éditoriale.
Grâce Kakela