L’ONG Journaliste En Danger a fustigé, dans un conmuniqué rendu public vendredi 2 décembre, la brutalisation et l’interpellation manu militari des journalistes le 1er décembre dans la ville de Goma au Nord-Kivu.
Selon JED, ces journalistes congolais au nombre de 7, qui travaillent pour le compte des medias internationaux ont été interpellés pendant qu’il faisaeint la couverture mediatique de la marche des mouvements citoyens contre le déploiement des forces de la Communaute d’Afriqye de l’Est, et contre l’entrée des troupes ougandaises en RDC.
» Ces journalistes, correspondents congolais des medias internationaux : France 24, AFP, TV5, Aljazira et Reuters portaient bien des gilets marqués « presse » quand ils ont été disperssés par les forces de l’ordre. Ces journalistes ont été brutalisés embarqués dans une jeep et conduit jusqu’au poste de la police ou ils ont été retenus pendant près d’une demie heure,avant d’etre relaché. JED denonce cette violence contre les journalistes qui ne faisaeint qu’exercé leur metier », deplore JED dans son comminiqué.
Selon cette ONG, ces chevaliers de la plume ont vu leurs matériels de reportage, dont les caméras, ont été saccagés par la police
Elle invite les autorités tant civils que militaires de la province à rappeller à l’ordre les reponsables de la police nationale pour ces pareils cas ne se reproduit plus, car, poursuit-elle, on ne peut pas interdir aux journslisres de couvrir une manifestation, même non autorisée.
Murphy FIKA