À vingt quatre (24) heures de la cérémonie marquant la sortie officielle de la plate-forme politique Union Sacrée de la Nation (USN), prévue ce samedi 29 avril au stade de Martyrs de la Pentecôte de Kinshasa, le parti politique Action pour le Bien-être des Communautés de la République Démocratique du Congo (ABC-RDC), mobilise sa base pour une participation massive.
Le président national de ce parti politique membre de l’USN, cher au professeur Michel BONGONGO, a saisi cette opportunité pour lancer un vibrant appel au peuple congolais en général et à ses militants et sympathisants en particulier, pour une participation massive, en vu de démontrer à la face du monde, que le peuple congolais demeure uni autour de son Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi.
» Cette sortie officielle de l’Union Sacrée de la Nation congolaise revêt d’une importance capitale. Tout le peuple congolais hommes, femme et enfants, tous autour du chef d’État nous devons nous unir. Nous unir pour préserver la nation congolaise qui est en danger, danger d’agression militaire, danger de convoitise… Nous sommes confiés, ce samedi 29 avril, nous rassembler tous au tour du chef de l’État qui est le père de la nation congolaise pour que nous puissions clamer haut et fort que la nation congolaise restera unie et indivisible », a lancé le professeur Michel BONGONGO.
Le ministre honoraire de la fonction publique a révélé que cette cérémonie sera une démonstration de force en l’endroit de la communaute internationale, montrant que le peuple congolais appui son Président de la République dans son combat pour la patrie, et pour la préservation du patrimoine national.
Le professeur Michel Bongongo Ikoli Ndombo, ancien ministre du Budget, de la Fonction publique, et de la Défense nationale, n’est pas à son premier appel à la mobilisation tout azimut au tour du chef de d’État, autorité morale de L’USN. Il s’était soumis au même exercice lors de l’appel à la mobilisation générale pour l’intégration des jeunes dans l’armée lancé par le président de la République face à l’agression dont la RDC est victime de la part du Rwanda, sous couvert du M23.
Murphy Fika