Le monde entier célèbre chaque 2ème lundi du mois de fevrier, la Journée Internationale de l’épilepsie.
Une occasion pour les dirigeants de plus de 130 pays dans le monde de mettre en évidence les problèmes rencontrés par les personnes souffrants d’épilepsie, leurs proches et leurs soignants, mais aussi de favoriser la sensibilisation à l’épilepsie.
D’après un recent rapport de l’Organisation Mondiale Santé (OMS), cette maladie neurologique chronique touche environ près 50 millions de personnes dans le monde.
L’épilepsie est une affection neurologique qui touche toutes les populations du monde.
Elle se caractérise par des crises récurrentes se manifestant par de brefs épisodes de tremblements involontaires touchant une partie du corps (crises partielles) ou l’ensemble du corps (crises généralisées).
Cette pathologie s’accompagnent parfois d’une perte de conscience et du contrôle de la vessie et de l’évacuation intestinale. Ces crises résultent de décharges électriques excessives dans un groupe de cellules cérébrales.
Selon certaines estimations, 70 % des personnes vivant avec l’épilepsie pourraient ne pas subir de crises si leur état était correctement diagnostiqué et traité.
Le risque de décès prématuré chez les personnes atteintes d’épilepsie est près de trois fois plus élevé que dans la population générale, d’apres certaines études.
Retenons que la Journée Internationale de l’Épilepsie (International Epilepsy Day) a été lancée en 2015 à l’initiative de l’International Bureau for Epilepsy (IBE) et de l’International League Against Epilepsy (ILAE).
Murphy Fika