Spacieux, beau à voir, avec un paysage extraordinaire, parsemée d’une nature fraîche, la Cité Baruti a su conquérir les cœurs des acquéreurs et souscripteurs qui ont ce samedi 05 mars, effectué une descente organisée par Objectif Habitat ASBL.
Située en face de la zone économique spéciale de Maluku, projet cher au Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi, avec son emplacement stratégique au bord du macadam, la Cité Baruti a mis d’accord les acquéreurs et souscripteurs.
Convaincus après avoir palpé du doigt cette magnifique cité dont la vue donne sur le fleuve Congo, les acquéreurs et souscripteurs de cette cité n’ont pas pu retenir leurs émotions.
C’est le cas de Lucien Bongili qui a exprimé sa joie, en s’attardant sur les points forts de la cité. « La cité est très spacieux, avec un beau paysage, elle se trouve au bord du macadam, surtout en face de la zone économique spéciale. Tous ces éléments constituent les points forts de la cité », a-t-il exprimé avec liesse son sentiment de satisfaction.
D’un client à un autre, Augustin Mukendi ébloui par la qualité de service de cet éléphant de l’immobilier, ne s’est pas empêché d’inviter les autres congolais à s’octoyer des terrains à la cité Baruti.
« Nous avions eu à payer notre argent, et aujourd’hui nous avons visité la cité. De ce fait, nous sommes très satisfaits et invitons par ailleurs les autres congolais à s’empresser pour s’octroyer des terrans dans la cité Baruti », a-t-il souligné
Pour sa part, Jean Claude Kapaway estime que le plus important dans la vie à l’heure actuelle, c’est de s’octoyer de sa propre parcelle peu importe sa localisation géographique. À l’en croire, à un certain moment il faut se derober de l’oppression des bailleurs, en devenant propriétaire de sa propre parcelle.
En définitive, avec Objectif Habitat, devenir propriétaire d’un terrain, n’est plus un luxe reservé à la classe bourgeoise. Avec cette grande machine immobilière, tout congolais lambda peut devenir bailleur, ce, grâce aux prix abordables des terrains de Objectif Habitat, surtout qu’ils sont payables par tranche.
Par Emmanuel Sandalay