Dans un élan de colère et d’indignation, l’opposant congolais Martin Fayulu a dénoncé, via son compte Twitter, la mort de plusieurs détenus à la prison centrale de Makala. Ce drame, d’une gravité inouïe, a ému l’opinion publique et suscité une vive polémique.
« Je condamne avec la plus grande fermeté l’assassinat brutal des prisonniers à la prison de Makala. Ces exécutions sommaires sont un crime inacceptable qui ne peut rester impuni. J’exige que toute la lumière soit faite sur ce carnage, et que les responsables soient traduits en justice. Le respect de la vie humaine et de la dignité doit primer en #RDC », a-t-il tweeté.
Ces mots forts résonnent comme un cri d’alarme. Ils mettent en lumière un état de fait intolérable : la vie humaine, même derrière les barreaux, est sacrée. Ces exécutions sommaires constituent une violation flagrante des droits de l’homme et un défi à l’État de droit.
Comme le souligne Martin fayulu, il est impératif que toute la lumière soit faite sur ce carnage. Une enquête indépendante et approfondie doit être menée afin d’identifier les responsables de ces actes odieux et de les traduire en justice. Les auteurs de ces crimes ne doivent pas jouir de l’impunité.
La société civile, les organisations de défense des droits de l’homme et la communauté internationale doivent se mobiliser pour exiger justice et vérité. Le respect de la vie humaine et de la dignité doit être une priorité absolue en République Démocratique du Congo.
Célestin Botoleande