Par Edmond Izuba
Iman Moussa, actuel président de la Commission d’intégrité et de médiation électorale (CIME), a placé le chef de l’État devant ses responsabilités. “Nous avons interpellé le président de la république parce que c’est lui qui a prêté serment devant la nation, et nous lui avons demandé de faire confiance en Dieu”, a martelé Imam Moussa Rachid.
Pour une recherche des solutions idoines pour préserver la paix et l’unité à travers le pays, le président de la CIME a envoyé la balle dans le camp du chef de l’État : “il doit interroger sa conscience”.