Plusieurs semaines de négociations à Glasgow, en Ecosse, ont amené à un compromis, avec quelques avancées sur la question climatique. Mais les principales revendications portées par les pays africains les plus touchés par le réchauffement n’ont pas abouti.
Le texte final signé le week-end par les 196 pays qui ont négocié pendant deux semaines à Glasgow ne fait allusion d’aucune garantie faite aux pays africains sur les 100 milliards de dollars américains de leur plaidoyer, présenté par le Président en exercice de l’Union Africaine, Félix Tshisekedi du haut de la tribune.
Par ailleurs, ce document exhorte les pays développés à doubler leurs financements, pour l’adaptation à 2025.
Par contre, les États-Unis ont trouvé un accord sur l’épineux fonctionnement des marchés carbone internationaux, mais les modalités pour en bénéficier sont à surveiller.
Par Bien-aimée Bosasele