La question de la grève des enseignants des écoles primaires et secondaires décrétée dans plusieurs provinces de la République démocratique du Congo a été à l’ordre du jour lors du conseil des ministres du vendredi 4 octobre dernier.
À en croire le compte rendu de cette réunion, ce mouvement a été déclenché en dehors de toute procédure en la matière et semble ignorer les avancées enregistrées dans le secteur de l’éducation nationale, principalement l’augmentation du taux d’exécution des engagements des Accords de Bibwa, taux qui est passé de 29 % à 70 %.
Par ailleurs, des mesures ont été prise. Objectif, améliorer les conditions socioprofessionnelles, notamment le paiement progressif des arriérés de primes et l’augmentation de l’enveloppe salariale des enseignants.
Par la rédaction