Le dossier relatif à l’installation du bureau de la Commission Électorale Nationale Indépendante continu de mettre les intincelles en l’air au sein de la classe politique congolaise.
Le président de la centrale électorale et son bureau font l’objet d’une controverse qui ne dit pas clairement son nom, mettant ainsi de la confusion et cacophonie entre politiciens en quête du pouvoir.
D’un côté, le Front Commun pour le Congo du président honoraire Joseph Kabila, de commun accord avec la coalition Lamuku aille Muzito-Fayulu, en connivence avec Moïse Katumbi et plusieurs autres leaders politiques, étaient montés au créneau pour fustiger l’installation du bureau de la centrale électorale.
De l’autre côté, les chiens aboient la caravane passe dit-on, nonobstant les cris d’alarmes des leaders et partis politiques susmentionnés, le bureau Kadima est installé ce mardi 26 octobre, par la Cour constitutionnelle.
Malgré cette installation, les détracteurs de Denis Kadima ne comptent pas en rester là. Ils prévoient cependant, une série de mesure en vue de combattre ce qu’ils qualifient de dictature de Félix Tshisekedi.
Pour rappel, le président de la CENI est reproché d’être proche du président Félix Tshisekedi, et serait selon ces détracteurs, le pion du régime en place.
Par Emmanuel Sandalay