« L’homme ne tombe pas comme un arbre », dit un dicton populaire. Mais, Ardent Kabambi et son camp sont en train de couler après avoir intenté une action en justice contre le Secrétaire permanent adjoint du PPRD.
En appel ce vendredi, Ferdinand Kambere a de nouveau mis à nu le complot monté contre lui en évoquant entre autres l’exception d’inconstitutionnalité conformément à l’article 162 de la Constitution en ce que le jugement RP 28.149 du Tribunal de grande instance qui l’avait condamné à 6 mois en appliquant l’article 103 de la loi organique, fonctionnement et compétence judiciaire pour une infraction qui était de la compétence du Tribunal de paix.
Par ailleurs, toujours à travers ses avocats, le SPA du PPRD a démontré que ses droits fondamentaux et libertés publiques clairement garanties par les articles 18 et 19 de la Constitution ont été violés, en ce qui concerne le droit d’être informé des faits dont il est accusé dans un délai raisonnable pour préparer sa défense.
L’affaire a été prise en délibéré et la Cour promet de rendre son arrêt dans le délai. Même si le ministère public et la partie civile estiment que l’argument avancé par Ferdinand Kambere doit être rejeté, il ressort que Ardent Kabambi est de plus en plus en mauvaise posture.
Après le verdict rendu au premier degré, condamnant Ferdinand Kambere à 6 mois de prison pour coups et blessures volontaires, les éléments démontrent clairement que la partie plaignante est en train de perdre dans une bataille qu’elle avait engagée de son propre chef.
Par Gaba