Après la pluie vient le beau temps dit-on. Un proverbe français incompatible en République Démocratique du Congo encore moins à Kinshasa la capitale. Car ici, après la pluie tout devient morose.
Les avenues et grandes artères de la ville sont inondées par les eaux pluviales empêchant ainsi la fluidité de la circulation. Il faut nécessairement attendre l’évacuation de ces eaux, avant de reprendre la circulation et ce, partout dans la ville y compris la commune de la Gombe, siège des institutions.
Comme un œuf, les grandes artères et coins stratégiques de la ville de Kinshasa sont inondées. En l’occurrence, le marché Selembao en passant par Moulaert, l’avenue des Huileries, et autres artères de la capitale.
Cette situation met souvent les travailleurs, élèves, étudiants et autres personnes dans la difficulté de vaquer à leurs occupations.
Cette situation est due d’un coté au manque d’infrastructures routières adéquates, et de l’autre par, à la mauvaise construction de certaines routes dont le système de canalisation est programmé aux calendes grecques.
Par Emmanuel Sandalay