La mode vestimentaire est en branle ! Heureusement qu’il est initié en République démocratique du Congo, « LE WAX DE MAMAN MOSEKA » pour fixer la culture vestimentaire.
Des considérations spatio-temporelles, l’histoire du pagne est marqué des faits poignant qui renseignent sur les valeurs essentielles qu’il a laissé dans la conscience collective de l’humanité.
Bien avant le 19 ème siècle, quand des Espagnols et néerlandais ramenait des waxs en Afrique pour leurs commerces, le pagne, en vêtement des parures les plus anciennes, fut utilisé en Amérique, l’Asie et surtout l’Afrique, mais en mode « Tapa » court pagne tissé sur base des lianes et employés à couvrir essentiellement les parties génitales. Puis, l’Égypte antique l’employa pour ses coutures prestigieuses dont certains souverains ont soutenus jusqu’à en faire un vêtement de noblesse.
Dans le patrimoine de certaines traditions ancestrales Africaines, le page est défini en couleurs, selon les vicissitudes de l’existence. Le pagne blanc était d’usage nuptial, porté par la mariée lors de sa nuit de noce, pour confirmer si elle est vierge lors de son mariage. Le pagne noir serait d’usage funéraire, pour le recueillement au deuil; et plus, il était porteur des motifs renseignant sur les faits de la vie du défunt.
Mais, aujourd’hui que les modes se sont diversifiés, le pagne court comme long est d’usage à conserver la pudeur du corps humain, en incontournable élément de la mode Africaine.
Aujourd’hui défini en vêtement le plus simple à fabriquer et à porter, il est le tissu usuel le plus prisé par les créateurs de modes et artistes qui en font une source d’inspiration et conception se pliant aisément à leurs fantaisies et choix des coupes stylisés !
Lancé récemment par le groupe Objectif que patronne ANADY-SARAH KIBALABALA, le wax personnalisés de maman Moseka sont d’une classe de pagnes destiné à fixer le temps et définir la culture sociétale Africaine par un choix élégant des icônes et motifs personnels visant une communication directe de ses acquéreurs et destinataires. Produit sur commande, il détient le luxe qu’il faut pour immortaliser par le tissu, les rêves fictifs de ses utilisateurs, et dire par la communication para- verbale au-delà de ce qu’en peuvent simplement les mots !
En ce grand moment de rendez-vous culturel du donner et du recevoir prédit par le feu président et poète Léopold Sedar Senghor, le pagne est un élément culturel valable qui défini mieux l’Afrique actuelle ! Qu’attendez-vous pour vous procurer le votre au près de la chaîne vestimentaire des « LE WAX DE MAMAN MOSEKA ? » Tentez l’expérience, vous m’en direz des nouvelles !
Yannick Mayele