Par Emmanuel Sandalay
Pour mettre fin à la grève des chauffeurs declenchée le lundi 12 juillet, le ministre de l’intérieur avait d’urgence organisé une réunion à l’issue de laquelle, un moratoire d’une semaine est accordé aux chauffeurs, afin de se mettre en ordre avec les documents.
À ce qui précède, les réactions tombent de partout. Les chauffeurs intérrogés à ce sujet, affirment être contre ledit moratoire, car selon eux, il ne résoud pas le vrai problème.
De son côté, l’ASBL « Mopila ya ba chauffeurs » préconise la mise en place d’une table ronde pour le transport terrestre, en plus de la loi portant organisation de transport terrestre et protection des chauffeurs.
Cette ASBL révèle que les chauffeurs reclament la levée de la taxe sur le parking, la fin des tracasseries routières sous toutes ses formes, ainsi que des embouteillages, l’organisation du secteur de transport, en plus de l’amélioration de l’état de route.