Le jeu démocratique promet d’être si disputé en 2023. A 15 mois des élections générales en RDC, des situations politiques loin d’être considérées anodines nous rapprochent d’une certaine évidence.
Si certains dissimulent encore leur plan, d’autres par contre se montrent déjà leurs couleurs. Pendant ce temps, le lobbying à l’international vient d’être officiellement lancé.
En effet, deux noms sont à la tête d’une grande discussion au niveau international et national.
D’une part Moïse Katumbi regardé comme l’unique choix de la population congolaise est soutenu par les Américains au niveau international. D’autre part, Denis Mukwege regardé à l’international comme un humanisme ayant des atouts nécessaires pour développer le CONGO, soutenu par l’Union Européenne.
Mardi 27 septembre dernier, François Hollande rendait visite à Denis Mukwege, accompagné de 10 diplomates et sa femme. Mukwege n’est pas le seul, Martin Fayulu est appelé aux Etats Unis pour former un bloc derrière Moise Katumbi pour battre Félix Tshisekedi en 2023.
« Aucune chance ne sera accordée à Tshisekedi pour briguer le deuxième mandat », nous signalent les câbles d’objectif-infos.cd.
De prochaines joutes électorales promettent les étincelles en l’air. Nous sommes pas encore en 2023, mais certains candidats y pensent d’ores et déjà d’une manière ou d’une autre.
A 15 mois de nouvelles élections en République démocratique du Congo, les partis politiques se mettent en mode pré-campagne pour s’assurer avoir plus de scores quand il sera question d’aller aux urnes.
Des congolais sont appelés à voter des nouveaux dirigeants en décembre 2023.
Par Gédéon ATIBU