Les prix du cuivre et du zinc connaissent une hausse sur le marché international, au cours de la période du 31 octobre au 05 novembre 2022, en se négociant respectivement à 7.617,25 USD contre 7.603,15 USD la tonne et 2.967,95 USD contre 2.915,10 USD la tonne précédemment, indique la Commission nationale des mercuriales des prix du ministère du Commerce extérieur, dans un communiqué reçu lundi à l’ACP.
Les prix de l’étain, de l’or et du tantale par contre sont en baisse, au cours de la même période sur le marché international, en se négociant respectivement à 19, 119,00 USD contre 20.094,00 USD la tonne ; 53,38 USD contre 54,07 USD le gramme et 370,00 USD contre 379,60 USD le kilogramme. Cependant, les prix du cobalt et d’argent sont restés stables sur le marché international, en se négociant respectivement à 51.260,00 USD la tonne et 0,62 USD le gramme.
Quelques produits agricoles en hausse Par ailleurs, la Commission nationale des mercuriales des prix du ministère du Commerce extérieur, annonce également que les prix de quelques produits agricoles et menus forestiers sont en hausse, au cours de la période du 31 octobre au 05 novembre, sur le marché international, à savoir, les écorces de quinquina, la poudre de totaquina, le sel de quinine et la rauwolfia.
Ces produits se négocient respectivement à 2,02 USD contre 1,99 USD le kilogramme ; 59,40 USD contre 58,20 USD le kilogramme ; 100,98 USD contre 98,94 USD le kilogramme et 1,68 USD contre 1,65 USD le kilogramme
Toutefois, le café robusta, le café arabica et la papaïne connaissent une baisse au cours de la période sous examen, en se négociant respectivement à 1,92 USD contre 2,04 USD le kilogramme ; 3,26 USD contre 3,53 USD le kilogramme et 17,4 USD contre 17,05 USD le kilogramme.
Par contre, le cacao et le caoutchouc restent stables sur le marché international, au cours de la même période, en se négociant respectivement à 1,33 USD le kilogramme et 0,65 USD le kilogramme.
Dans l’opinion congolaise, l’embellie des prix des produits miniers cités ci-dessus, est une bonne nouvelle pour l’économie nationale, d’autant plus que le secteur minier contribue pour une large part au budget national, à l’instar des produits pétroliers et de la télécommunication.
Par la Rédaction