Par Edmond Izuba
Le président national de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) tient fermement à recouvrer sa liberté. Condamné à 20 ans de travaux forcés et 10 ans d’inéligibilité dans l’affaire « 4.500 maisons préfabriquées des militaires et policiers » qui l’oppose au ministère public, Vital Kamerhe dit attendre jusqu’aujourd’hui la preuve de son implication dans le détournement des derniers publics et la corruption après sa condamnation par le tribunal de grande instance de Kinshasa-Gombe.
En appel contre le refus par la cour d’appel de lui accorder une liberté provisoire, le Directeur de cabinet du Chef de l’Etat, Vital Kamerhe a soumis sa requête de la liberté provisoire devant la cour de cassation ce lundi 03 Août au cours d’une audience en chambre de conseil. La cour de cassation a promis de se prononcer dans 48h, soit le mercredi 05 aout 2020.