Par la Rédaction
Nul ne peut contester les actions salutaires menées au profil de la République démocratique du Congo (RDC) par l’Inspection Générale des Finances (IGF), au cours de l’année dernière.
L’IGF fait constater que l’évolution des Finances Publiques au premier semestre 2020 était caractérisée par une faiblesse sans précédent de mobilisation des recettes, des exonérations complaisantes et monnayées ainsi qu’une exécution des dépenses sans rationalité ayant fait flopée le taux de change de 1600 CDF le dollar à 2000 CDF en mai 2020.
C’est une dépréciation inédite et historique observée au cours des dix dernières années et qui a failli mettre l’économie de la RDC à genoux ; voir même, aucune Réforme sérieuse n’a été entreprise sur le plan fiscal encore moins dans la gestion financière de l’État.
Tout était mis en œuvre par la criminalité financière pour une année 2020 misérable pour les congolais.
Les actions menées par L’Inspection Générale des Finances ont permis de mettre hors d’état de nuire la stratégie des fossoyeurs des finances publiques.
À ce jour, en dépit des conséquences néfastes de la COVID-19, les finances publiques tiennent tant soit peu.
Les mesures conservatoires et d’encadrement de l’économie nationale pilotées par la présidence et dont l’IGF était chargée de veiller à la stricte application depuis janvier 2021 du fait du caractère démissionnaire du gouvernement ont permis de barrer la route aux prédateurs qui sont en débande.Ces prédateurs utilisent leur presse et journalistes pour tenter sans vergogne ni ridicule de discréditer le Directeur du cabinet du Chef de l’Etat Guylain Nyembo et l’Inspecteur général des finances-chef de service Jules Alingete.