Dans l’une des ses sorties comme il en a coutume sur son compte Facebook, ce dernier soutient que la question de l’eau est aussi une question de guerre.
Selon le Dr Polain Nzobeuh de nationalité camerounaise, boire constamment de l’eau contenant du chlore détruit la flore intestinale siège de votre système immunitaire puisque le chlore est rajouté à l’eau comme désinfectant.
« Les résidus médicamenteux des eaux usées déversées dans les rivières où sont collectées l’eau qui deviendra par suite de traitement l’eau à boire, et bien ces résidus ont déjà été prouvés être de puissants perturbateurs hormonaux qui changent les sexes des animaux, rendant les mâles femelles et les femelles mâles. Pas étonnants qu’on observe dans nos sociétés de plus en plus des tendances contre nature dans ce sens. Ils ne font pas exprès, la cause peut aussi résider dans ces perturbateurs hormonaux contenus dans l’eau des villes », argumente-t-il.
Comment avoir de l’eau de qualité dans des pays corrompus jusqu’à la moelle ?
Au passage, il dénonce l’eau des forages. « Comment croire qu’une eau recueillie après percolation sous des fosses septiques urbaines situées à quelques mètres de distance peut être indemne de toute pollution ? Pire encore, sous prétexte de la traiter on y rajoute encore des produits chimiques qui ont tous déjà prouvé leur toxicité pour la vie humaine, animale et végétale. Vous croyez trouver solution dans l’eau en bouteille ? Et bien Non », ajoute le biologiste.
« Les plastiques utilisés pour conditionner et stocker ces eaux génèrent eaux aussi des résidus plastiques extrêmement complexes quand l’eau elle-même n’est pas déjà polluée à la source. On a vu en Afrique et on voit encore de nombreux scandales dans les eaux en bouteilles. Que buvez-vous bon sang ! Comment avoir de l’eau de qualité dans des pays corrompus jusqu’à la moelle ? La solution existe, et chacun doit prendre la juste mesure de la menace sur le peuple Africain car ce qui nous arrive n’est pas un hasard, c’est bien ficelé car on est en guerre », ajoute le Biologiste-Thérapeute.
Par Gédéon ATIBU