Par la Rédaction
C’est dans la salle d’attente de l’aéroport international de N’Djili que Pascal Nyembo, Directeur Général du Centre d’expertise de certification des substances minérales précieuses et semi-précieuses (CEEC), a couper court à toutes toutes les rumeurs ayant envahi les réseaux sociaux depuis le début de cette semaine. L’homme se porte comme un charme et est libre de tout mouvement. Ses proches ont joint la rédaction d’Objectif-Infos.cd avec une vidéo l’appui où apparaît en live le patron du CEEC en RDC.
«Je quitte le pays ce jour et je me rends à Nairobi, je vais bientôt prendre l’avion, où je suis invité par mes collègues de la lutte contre la fraude minière de la région des grands Lacs. Nous allons évaluer comment renforcer nos capacités de travailler en symbiose dans la région”, a déclaré Pascal Nyembo.
Visiblement concentré aux véritables souffrances de la population congolaise, Pascal Nyembo, victime de la cybercriminalité, plaide pour une loi qui viendra punir sévèrement les auteurs de Fakenews dans les réseaux sociaux.
Un faux document d’interdiction de sortie du pays
Une fausse information faisant état de l’interdiction de Pascal Nyembo, Directeur général du Centre d’Expertise d’Evaluation et de Certification des substances minérales précieuses et semi-précieuses (CEEC), de quitter le territoire national est distillée dans les réseaux depuis quelques heures.
Dans le but de saper la réputation de Pascal Nyembo, ces personnes mal intentionnées ont inventé une histoire selon laquelle, Pascal Nyembo serait impliqué dans la falsification des dispositions de l’organisation de la CEEC au Journal Officiel sans l’aval du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Ces maîtres chanteurs l’accusent d’avoir madifié le journal officiel sans pour autant se demander s’il est parlementaire ou encore membre du cabinet du président de la République pour prétendre modifier un contenu dans le journal officiel. Tout cela participe, ni plus ni moins, à une campagne de diabolisation et de dénigrement contre ce digne fils qui a montré son savoir-faire depuis qu’il a été placé à la tête de ce service hautement technique de l’État. Ces campagnes de la sape engagées par les ennemis de la république, viennent souvent décourager les bonnes consciences dévouer à servir le pays jusqu’aux sacrifices suprêmes.
Ses détracteurs parlent même de l’existence d’une note y relative émise par les autorités de la Direction Générale de Migration (DGM), ce qui est un faux. Même ce document attribué à l’agence nationale de renseignements serait préparé dans les officines qui se recrutent dans les milieux obscurs car selon nos sources, il n’y a que le procureur général près la cour de cassation qui peut élaborer ce genre des documents.
À en croire les proches de la victime de cette cybercriminalité, les auteurs de ces calomnies propagées dans certains médias doivent être arrêtés dans les heures qui suivent et déférer devant les cours et tribunaux pour répondre de leurs actes.