La participation de la RDC au Sommet de la 28è conférence de l’ONU sur le changement climatique (COP28) à Dubaï via la ministre en charge de l’environnement Ève Bazaïba, qui a représenté le président de la république, Félix Antoine Tshisekedi n’a pas été vaine.
En effet, le pays de Lumumba va bénéficier d’un fond estimé à soixante deux millions de dollars américain (62 millions $) de la part de ses partenaires internationaux.
Cette aide vient pour appuyer sa
nouvelle économie du climat basée sur la protection des forêts, des tourbières et des zones clés pour la biodiversité, tout en développant une économie durable. L’objectif est d’améliorer les conditions de vie et l’emploi pour les communautés du pays.
Selon les estimations d’un groupe de la Banque mondiale, les forêts de la RDC peuvent générer une valeur estimée entre 223 milliards à 398 milliards de dollars par an grâce au carbone stocké et aux services écosystémiques associés nécessaires pour atténuer les impacts des catastrophes et renforcer la résilience des communautés de la RDC.
Notons qu’au moins 118 pays se sont engagés à tripler les capacités d’énergies renouvelables dans le monde d’ici 2030. En parallèle, une vingtaine de pays ont appelé à tripler les capacités de l’énergie nucléaire d’ici 2050.
Murphy Fika