La Monkey Pox, dite » variole du singe » frappe de plein fouet la RDC, et les cas de contaminations ne font augmentés. La sonnette d’alarme est tirée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
D’après l’OMS, la RDC enregistre à ce jour cinq quatre-vingt et un (581) morts sur près de treize mille (13 000) cas déclarés. Les nouvelles zones géographiques touchées par cette maladie sont : Kinshasa et les provinces de Lualaba et du Sud-Kivu qui étaient plutôt épargnées, renseigne la même source.
Face à cette vague de contamination, l’agence onusienne de la santé estime que le risque de propagation des pays voisins et dans le monde est élevé.
Cette organisation onusienne s’est dit très inquiète de la flambée des cas de variole du singe en RDC avec un taux de mortalité élevé alors qu’elle a lancé il y a quelques mois l’alerte face à cette maladie.
Elle justifie cette flambée par des maux structurels. Les autorités sanitaires congolaises évoquent des problèmes financiers, qui d’après elles, peinent à débloquer les 4 millions USD nécessaires à un plan d’urgence dans ces quatre provinces, où le virus circule très vite.
Murphy Fika